La crise du Coronavirus ou COVID-19 a complètement bouleversé notre façon de nous déplacer au quotidien. Désormais, les transports publics sont considérés comme trop risqués. Les vélos et les trottinettes partagés le sont probablement aussi. Si vous envisagiez d’acheter un vélo électrique, mais que vous hésitiez depuis, c’est peut-être le meilleur moment. Examinons les raisons pour lesquelles les vélos électriques sont vraiment le meilleur mode de transport en ce temps de crise sanitaire.
Respecter les règles de distanciation sociale avec un vélo électrique
Les experts conseillent de rester à au moins d’1 mètre des autres personnes pour minimiser la propagation de l’infection. C’est une réponse brutale à la crise immédiate qui va encore durer des semaines voire des mois. Dans ce contexte, le vélo, peut-être un excellent moyen de respecter les règles de distanciation sociale, à condition de rouler seul, conseille Noa Khamallah.
Avantage d’une propriété non partagée pour éviter tout risque de contagion
Même si le risque de contracter le coronavirus par le biais d’un véhicule partagé est faible selon les experts en maladies infectieuses, il est important de faire attention. Car selon les premières études, le virus peut rester quelques jours sur des surfaces en plastique ou en acier inoxydable. Ainsi, en ayant un véhicule personnel comme le vélo, vous minimiserez le risque de contracter le COVID-19.
Les ventes de vélos électriques sont en plein essor
Les ventes de vélos électriques ou de trottinettes sont en plein essor dans le monde entier, ce qui contribue à faire baisser les prix d’achat. Il est désormais possible de se procurer de bons vélos électroniques sans se ruiner. Même les vélos électroniques haut de gamme qui offrent plus de fonctionnalités et une plus grande tranquillité d’esprit peuvent être trouvés à prix raisonnables.
De nombreux pays européens offrent des incitations à l’achat de vélos électriques pour promouvoir leurs initiatives écologiques. Aux Pays-Bas, par exemple, un programme soutenu par le gouvernement et introduit en janvier permet aux employés de louer un vélo électrique pour moins cher qu’un abonnement Netflix. Certaines villes reconnaissent même qu’elles ont un rôle à jouer pour encourager davantage de livreurs à utiliser des vélos. Au Royaume-Uni et dans certaines régions des États-Unis par exemple, les magasins de vélos ont obtenu le statut « essentiel » pendant la période de fermeture du COVID-19.
En conclusion, la pandémie pourrait bien provoquer un changement indispensable dans notre façon de voir les vélos électriques.
